NYC day 6
Jeff est malade… les chauds et froids… petite nature sans doute, mais on nous avait prévenu qu’il fallait garder quelque chose autour du cou. C’est vrai qu’habituellement la température pendant nos vacances d’été ne dépasse que rarement les 20° et la quasiment 40° et des passages à 15° ont eu raison de ma santé.
Automédication à l’américaine. Titou avait repéré une chaine de magasins qui en plus de l’épicerie fait aussi de la pharmacie (Duane Read). On va au sous-sol et normalement on peut consulter un médecin mais il n’est pas là. Un comptoir avec des « vendeurs » ? Des « conseillers » ? Bref… avec quelques conseils et avec notre grande expérience d’automédication (si si…) on trouve quelques médicaments (impossible à acheter en France sans ordonnance) et on reprend la route (euh la rue…). Balade plus douce, voire de vieillard, jeff est stiffened, un peu par hasard on finit au MOMA qui est juste à cote.
Et là bizarrement ça va mieux, comme quoi l’art est un puissant régénérateur. Titou tombe en extase devant « Christina’s world » de Weyth et une œuvre de Gauguin (la lune et la terre).
Ici il y a du Picasso, Matisse, Rousseau (le douanier) et Van Gogh. Même une présentation des Nymphéas…Il y a quand même les demoiselles d’Avignon. L’aile plus récente est…plus difficile d’accès voire complètement déroutante. Hormis un coup de cœur énorme pour l’expo de Billy Brandt (photographe US) : c’est poignant, notamment une série de portraits dans le nord de l’Angleterre, dans des villes minières
On lunch sur place (plusieurs resto sympa). En sortant on achète un livre de B Brand et des quelques gifts.
On rentre faire la sieste. Papy doit se reposer. On ressort pour poursuive notre visite de l’environnement de proximité. On décline le cinéma (on ne trouve pas de salle… assez incroyable, ou alors il faut retourner à times square voir un blockbuster bien bourrin dans une ambiance polaire à 10°) bref après quelques hésitations (as usual) on finit au resto « rue 57 » Ambiance sympa, la serveuse nous reconnait (on était venu prendre un thé dans l’après-midi)
Elle nous met un petit mot en français sur la note… c‘est mignon.
De retour à l’hôtel on commande une limo pour nous conduire à l’aéroport demain.
Et oui NYC c’est fini…. On a l’impression de n’avoir fait qu’effleurer la ville. Démesurée, envoutante, frénétique. Elle est bourrée d’énergie. John dos passos est un souvenir de lecture qui me revient, sa description de NYC m’avait frappée à l’époque. J’ai retrouvé la même sensation.
Petit regret, malade, je n’ai pas pu me lever pour aller à Rockaway Beach (Souvenir des Ramones)
Up on the roof, out on the street
Down in the playground the hot concrete
Busride is too slow
They blast out the disco on the radio
Rock Rock Rockaway Beach
Rock Rock Rockaway Beach
We can hitch a ride
To Rockaway Beach
It's not hard, not far to reach
We can hitch a ride
http://www.youtube.com/watch?v=79S5k1pgWZU
Pause musical avec des groupes de NYC :certains sont un peu vintage
http://www.youtube.com/watch?v=KLxt74ObBl4 p
http://www.youtube.com/watch?v=IX1_civ9WMY
http://www.youtube.com/watch?v=_mK6jeJPuz8
http://www.youtube.com/watch?v=QvSMp7T2Kes
http://www.youtube.com/watch?v=6HP04nfUi4g
http://www.youtube.com/watch?v=I1wg1DNHbNU
http://www.youtube.com/watch?v=6uo2WLQ2LVA
http://www.youtube.com/watch?v=WdgLMslbDuY
http://www.youtube.com/watch?v=4hKP5ljDar8
http://www.youtube.com/watch?v=vseREatlYhw
Et un petit chanteur né dans le New jersey dont nous connaissons bien l’aéroport
http://www.youtube.com/watch?v=EPhWR4d3FJQ